La Sophrologie va pouvoir agir sur :

• les troubles liés à la maladie (douleurs, insomnies, anxiété, peur, désespoir, sensations de fatigue, stress, perte d’énergie…..)
• les effets indésirables liés aux traitements médicaux (nausées, douleurs, troubles de mémoire, sentiment de nervosité….)
• l’intégration du schéma corporel du malade. Toute maladie grave représente une perte d’intégrité du corps, atteint dans l’une de ses parties ou de ses fonctions.
  Il s’agira ainsi de remettre la maladie à sa place organique et de restaurer l’image du corps.
• la gestion de la douleur par la substitution de sensations de chaleur, de froid, d’engourdissement à la douleur et par l’apprentissage de moyens d’auto-contrôle de la sensation douloureuse.
• l’attitude mentale du malade
  Progressivement les sensations agréables se répercutent sur les autres éléments de sa conscience et l’état d’esprit du malade vire au positif.
• Le contrôle de sa maladie. Devenir acteur.
  Se prendre en main et assumer un rôle actif.
  Agir sur le découragement, l’abandon et l’inhibition qui s’installent souvent dans la maladie chronique.

La personne devient vite autonome dans les techniques qui vont lui permettre de gérer son stress, d’améliorer son sommeil, de faire face à l’anxiété, d’augmenter son bien-être.

Par les techniques sophrologiques, le malade va ainsi apprendre à stimuler de manière autonome ses ressources internes pour développer les stratégies d’ajustement nécessaires à l’intégration de sa maladie et du traitement.

En cela, la Sophrologie aura également une action sur les facteurs qui améliorent l’observance thérapeutique.